[ Rétrospective 2019 ]

Voilà une année qui s’achève. Encore une.
¯ Ce temps qui défilent et nous filent des rides, ce temps qui ne nous laisse pas le temps ¯

Cette année a pourtant bien commencé.
Titou est allé voir Mickey à Disneyland pour la première fois, j’ai rencontré un  jeune  homme, j’ai eu 40 ans, ... plusieurs fois, j’ai visité Firenze (Florence), j’ai marié des amis, j’ai abusé d’un agréable été...

Oui, j’ai savouré et dégusté chaque moment d’apaisement, de soulagement, cette sérénité intérieure qui m’a été offerte et pour laquelle, désormais, je suis pleine de gratitude.

Vous connaissez cette expression : « quand quelque chose de bien nous arrive, on se demande à quel moment ça va merder » ?
C’est à peu près ça ; je ne sais que trop bien, comment la vie porte en elle le meilleur comme le pire, alors j’ai apprécié pleinement ces instants d’accalmie, cette douceur émotionnelle.

(Sûrement que le destin m’aura accordé une période de répit pour me permettre d’affronter ce qui va s’en suivre)

Car est arrivé l’automne avec ses feuilles mortes, ses journées qui raccourcissent, sa grisaille et ses températures décroissantes.
C’est là, que Mia, l’amie féline de Titou,  lui aura appris bien trop tôt, à éprouver un deuil.
... Et puis il s'est produit un évènement bouleversant au sein de mon intimité familiale, une tourmente en sommeil qui ne fait juste que se réveiller (s'amplifier ?), qui vient (encore) bousculer mes proches et qui nous demande de clôturer cette année avec inquiétudes, déceptions, angoisses, tristesse et colère. Pas les plus chouettes des « émotions de base » me direz-vous.
Oh oui, il est dramatique de regarder des personnes auxquelles vous tenez, souffrir et être si impuissant devant leur détresse.
(Je souhaite qu’il existe un enfer pour tous les êtres qui ont porté des actes malveillants sur autrui et dont le mal se déverse sur des générations entières.

Je prépare mes gants de boxe et croyez-moi ça va cogner fort quand j’irai là-haut !
Justice sera rendue tôt ou tard, vous pouvez trembler misérables ! )

« Le passé nous vole notre présent ! »

Cette année avait pourtant bien commencé.

Oh non, ne comptez pas sur moi pour terminer cette rétrospective sur une note négative.
Ce serait bien mal me connaitre.
Car même si j’ai conscience de mon tempérament mélancolique et nostalgique, mon expérience m’a déjà prouvé combien je pouvais faire confiance à ma résilience !
J’aime trop la vie même s’il y a des jours ou je l’étoufferai bien avec ses épreuves 😠

Je vis des moments parfois douloureux mais grâce à eux je me délecterai encore tellement plus des événements heureux qui me seront donnés, mes joies et mes petits bonheurs deviendront grands ! 
Cette difficulté nous permet aussi de renforcer certains liens, je pense fort à ma  Caro.

Il se peut bien aussi que des personnes se trouvent nouvellement sur mon chemin pour me soutenir dans cette période tumultueuse et m'éviter de sombrer mais j’ai acquis que rien n’est « pour toute la vie », le bon comme le mauvais.

Mais tant que mon fils, mon Titou est à mes côtés, je suis et je resterai la plus forte et la plus déterminée !

Décidée à fermer ce chapitre en deux teintes, et prête à continuer la suite de nos aventures.

2020 accroche toi ! On arrive !



© Une semaine sur deux

[ Noël, n'est pas un jour ni une saison, c'est un état d'esprit ]


Je sais que pour beaucoup de personnes ici, Noël ne sera pas vraiment Noël.

Il y aura du silence dans la maison, des cadeaux qui devront attendre ; les réveils (très) matinaux, les cris, l’excitation et la joie seront les grands absents de cette journée. Ils seront probablement remplacés par de la nostalgie, des regrets (?), de l’amertume et des larmes peut-être aussi.

Comme je le soulignais dans mon message de l’année passée, il est essentiel de laisser rêver nos enfants et si le 25 décembre doit se (re)créer  quelques jours plus tard, ce n’est pas dramatique, les enfants s’adaptent à tout, bien mieux que nous d'ailleurs, et surtout quand il s’agit de cadeaux ! 😉
Ils garderont en mémoire les moments passés ensemble.
Oh oui, les garçons se souviendront de leur avion télécommandé tellement espéré, les filles seront si fières d’annoncer à leurs copines la dernière « LOL Surprise » reçue …
Ce seront « leurs cadeaux de Noël », peu importe, je vous assure, la date d’ouverture de ces fabuleux trésors !

Mais je sais aussi que je ne pourrais pas empêcher, pour celles et ceux qui seront seul(e)s, d’avoir le cœur serré en cette période. 
Je n’ai pas de remède miracle, même en ce jour, contre le manque de nos enfants.
Je voudrais juste vous dire de prendre vraiment, et encore plus, soin de vous à ce moment précis !
  • Pourquoi ne pas donner quelques €uros à un(e) ami(e),  une personne de confiance ou un parent,  et de lui demander de vous acheter un « cadeau surprise » que vous pourriez avoir la joie de découvrir en ce jour un peu vide pour vous (il se peut même que cette personne  vous rende votre argent avec votre cadeau 😍).


  • Préparez-vous  votre boisson préférée : un chocolat chaud, une tisane, un café, un verre de vin, un mojito, une coupe de champagne ? On s’en fiche c’est Noël, faites-vous plaisir même seul(e) !


  • Mettez la musique à fond, dansez, chantez, restez sous la couette, allez courir,  achetez-vous des fleurs, pleurez, lisez, mangez tout le chocolat !


Peut-être vous retrouverez-vous un moment en famille ou peut-être serez-vous vraiment isolé(e) en ce mercredi 25 décembre 2019, quoi qu’il en soit, j’espère du fond de mon cœur, que vous trouverez comment adoucir un peu, cette absence si assourdissante.


💕  💕  💕  💕  💕


Mon Titou, comme chaque année depuis notre séparation, sera avec moi une partie de la journée et le soir avec son papa. 
Cela nous permet de profiter tous les deux de lui à cette occasion.
(On alterne uniquement, une année sur deux, les 24 et les 31)
Avec, sous chaque sapin, un cadeau qui nous attend.
Oui, j’ai conscience de la relation privilégiée que j’ai gardée avec le papa de mon fils.

Et c’est bien tout le mal que je peux vous souhaiter, à vous pour qui, les relations sont compliquées avec votre ex, de trouver le temps d’une journée peut-être, une trêve et un compromis pour faire de ce jour, un vrai Noël Magique.

Avec toute mon affection.



© Une semaine sur deux

[ Allo, maman bobo ]

Mardi 10 décembre 2019
20h45.

Tu viens de te coucher.
Je remonte vite dans ta chambre, déposer un jouet oublié.
Je te surprends sous la couette, à regarder la photo de Mia.
Et j'aperçois tes larmes couler sur les draps. 
Je viens à toi pour un gros câlin.
Qui souhaite apaiser ton chagrin.
Tu me murmures en sanglots  : « je veux que Mia revienne ».
Il me faut, à contrecœur, accepter mon impuissance devant ta peine.
Quelques pensées positives susurrées, qui me semblent pourtant te soulager.
Je redescends sur la pointe des pieds.
Mais pas encore la dernière marche dépassée, que je t’entends à nouveau pleurer.
Cette fois, je laisse, mais meurtrie en dedans, ta douleur se déverser,
Car je sais que ta tristesse doit s’exprimer.

Ce soir là, mon cœur de maman, en silence, se verra souffrir. 
Il y a des bobos, que même les bisous magiques, ne peuvent pas guérir.


[ Avenir ]

♡ 
Je te vois grandir,
Et je me vois vieillir,
Mais j’observe notre amour s’épanouir
♡ 
Je te vois grandir
Et je me vois vieillir
Mais j’imagine l’homme en devenir
♡ 
Je te vois grandir
Et je me vois vieillir
Mais j’écoute ton âme s’aguerrir
♡ 
Je te vois grandir
Et Je me vois vieillir
Alors je mesure ma chance de pouvoir te regarder mûrir
♡ 


© Une semaine sur deux

[ Porte toi bien, te laisse pas tomber ]

Il y a parfois des drames qui se jouent à l’intérieur des jolies maisons.
Je disais, il n’y a pas si longtemps, qu’il était difficile de voir son enfant souffrir et de se sentir impuissant(e), mais cela vaut pour toutes les personnes auxquelles nous tenons !
Une personne de mon entourage proche vient de connaitre, et de nous faire vivre, des heures sombres. 
Si je ne souhaite pas m’étendre sur les événements, et que nous garderons ce sujet uniquement pour la sphère très très très intime, ces quelques lignes me sont essentielles pour témoigner de :

« A quelque chose malheur est bon » ; car il y a quelques jours, j’ai vu des cœurs s’ouvrir, des larmes (longtemps contenues) couler, des mots d'affection se dirent, des êtres devenir des héros...🖤
Ce n’est que le début, la continuité ou la fin d'un malaise latent, mais la seule motivation qui nous aura conduites jusque dans les ténèbres, aussi surprenant soit-il : l’Amour que nous nous portons les uns pour les autres. 
Oui, on dit qu'il faut parfois un mal pour un bien.

Je veux croire à la lumière derrière l'obscurité.
Respect et admiration devant Titou et sa jolie cousine, qui nous apprennent tous les jours, comment aimer avec un grand A.
Promettez-moi de prendre soin de vous surtout ! 
N'oubliez pas que pour être bien avec les autres, avec vos enfants, il faut d'abord se sentir bien soi-même ! C'est si important...😘

Positive Energy ! 🍀 La vie continue ! Happy week-end.



© Une semaine sur deux

[ Je voudrais que tu saches ]

Je voudrais que tu saches que je t’aime.

Parce que qu’on ne t’a pas appris à aimer.
Parce qu’on t’a fait la guerre.
Parce que les démons ont envahi ton être.
Parce qu’il y a un combat féroce que tu mènes à l’intérieur.

Mais je voudrais que tu saches que je t’en veux.

Quand de victime à bourreau parfois tu vacilles.
Quand de cible, parfois tu t’égares.
Quand parfois le malin sort de ton corps.
Quand parfois sur notre innocence, il se venge.



Je voudrais que tu saches que je t’aime.

T’aider et t’apaiser nous voulons faire,
S’il te plaît laisse nous faire,
Plus jamais je ne voudrais faire,
Ce qu’une enfant ne devrait faire,

Mais je voudrais que tu saches que je t’en veux.

Des mots blessants qui peinent nos cœurs,
De cette décision qui a bouleversé mon cœur.
Des heures noires qui ont terni nos cœurs.
Des cicatrices à jamais ancrées dans nos cœurs.

Je voudrais que tu saches que je t’aime.

Il est temps de brûler ton passé.
Il est temps pour ton âme de se soigner.
Il est temps de te libérer.
Il est temps d’apprendre à aimer.

Je voudrais que tu saches,..... que je t’aime tellement.

© Une semaine sur deux

[ Tendresse ]

🙃 « Maman, comment tu fabriques les câlins ? » 

🥰 « Je vais te montrer mon Titou »
🥳 « Attends, je sors du bain et tu m’expliques »


Il y a des moments comme ça chez nous ❤️


© Une semaine sur deux


[ Drame Familial ]

« Je ne souhaiterais aucune polémique ou aucun débat et surtout aucun jugement dans ces quelques lignes qui suivent. 


J’écris comme d’habitude avec mon cœur, mes émotions, mon ressenti (mes tripes ?!) et ce texte se veut à 
« 
but utile 
»
, s’il le peut à son échelle, pour aider les personnes en souffrance. 

Merci de votre attention et de votre compréhension ». 

💕 💕 💕 

L’actualité regorge de faits divers et depuis quelques temps déjà, je me tiens éloignée de toutes les « mauvaises nouvelles », d’abord pour protéger mon Titou et aussi parce que je me suis vite aperçue que je ne m’en portais pas plus mal.

Seulement, il devient difficile d’échapper à tout (et tout n’est pas mauvais heureusement), surtout quand on travaille avec le Web et que l’on utilise de manière régulière les réseaux sociaux. 

Ces derniers temps, j’ai vu « passer » beaucoup (trop) d’articles relatant de « drames familiaux ». 
Incontestablement, les violences faites aux femmes, sujet très actuel, mais ici, j'évoque surtout ceux qui impliquent les enfants qui sont désastreusement, « entraînés » dans la mort. 

Je constate que la plupart de ces tragédies interviennent très souvent lors d’un cas de divorce ou de séparation des parents. 
Je ne connais pas les statistiques, et je n’irai pas les chercher, mais dans ce que j’ai pu lire dernièrement, sont concernés par ces gestes malheureux, aussi bien les papas que les mamans ! 

Nous sommes tous fragilisés psychologiquement quand une séparation, un bouleversement de vie survient, que ce soit voulu ou subi. 

Je rappelle cependant que nos enfants sont les premières victimes innocentes des difficultés que nous pouvons rencontrer, nous : parents et adultes. 

S’il m’est véritablement inconcevable  d’imaginer qu’un parent puisse faire du mal à son enfant, et encore moins lui ôter sa vie (comme la majorité d’entre vous, d’entre nous, fort heureusement) ; 

Je SAIS et je CONNAIS la détresse dans laquelle on peut se perdre après une séparation. 

Nous sommes tous émotionnellement différents et pour certains, une rupture peut-être un vrai désastre intérieur. 

Etre à terre, désespéré(e), vouloir que la douleur s’arrête et que le suicide puisse être envisagé, imaginé ; oh OUI je suis à même de le comprendre, peut-être même plus que vous ne pouvez l’imaginer. 

MAIS tuer ou entraîner un autre être vivant dans SA chute pour faire souffrir la personne que nous rendons responsable de notre malheur est un acte très lâche. 
➜ Surtout que nous avons tous une part de responsabilité dans nos échecs, même s’il est difficile pour certains de l’admettre. 
Il faut cependant faire une différence entre responsabilité et culpabilité, mais je développerai la distinction une prochaine fois, peut-être. 

Et même si vous êtes victime d’une véritable injustice, parce que c’est aussi souvent le cas, que « l’autre » décide de vous quitter, alors qu’il (elle) vous a humilié, frappé, trompé, peu importe le chaos dans lequel vous vous trouvez ;

Vos enfants méritent votre PROTECTION et non votre VENGEANCE. 

Car si aujourd’hui tout est noir, ce sont eux ; elle, lui, … eux, qui vous redonneront le sourire et qui vous donneront le courage de vous relever. 
Votre survie c’est peut-être et surement à vos enfants que vous le devrez ! 

Vous avez le droit de souffrir, vous avez le droit d’être malheureux(se) , vous avez le droit d’être une victime, vous avez le droit d’avoir mal, vous avez le droit d’être en colère, vous avez le droit qu’on vous demande pardon, vous avez le droit de ne plus vous sentir capable, vous avez le droit de haïr l’autre, vous avez le droit d’être en dépression et vous avez même le droit de souhaiter mourir ! 

MAIS vous n’avez pas le droit de vie ou de mort, personne d’ailleurs, sur un autre individu, qu'il soit enfant ou adulte. 

Par contre, vous avez le droit et même le devoir de demander de l’aide ! 

Votre couple est peut-être en perdition aujourd'hui, inévitablement que cet échec sera difficile à surmonter mais je peux vous assurer une chose ; vous vous en sortirez, je vous le PROMETS ! 

Alors si une quelconque pensée (très sérieusement) négative, venait à vous traverser l’esprit, et que vous pensez votre dernier espoir envolé, moi je vous HURLE qu’il y en a encore un ! 


Demander de l’aide est un acte qui demande du courage,
alors soyez COURAGEUX(SE) maintenant ! 



Besoin d'aide ? France
09 72 39 40 50 
Horaires: 24h/24 7Jours/7 
Site Web:www.sos-amitie.org 


SOS Suicide Phénix 
Accueil et écoute de toute personne confrontée à la problématique du suicide. 
Permanence d’écoute téléphonique 7j/7. 
Permanence d’écoute par messagerie accessible depuis le site internet de l’association. 
Ligne nationale : 0 825 12 03 64 (de 16 h à 23 h). 
Ligne Ile-de-France : 01 40 44 46 45 (de 12h à minuit). 
Site Internet : www.sos-suicide-phenix.org 




Moi-même, je suis à votre écoute ; votre désarroi, votre peur, votre vide, je les connais, on peut en parler ! Je pourrais témoigner de  ma séparation, mon expérience, ma culpabilité, mes combats, mais surtout mes victoires ! 

Et puis peut-être que je vous parlerais d’un autre vécu, plus intime et personnel, qui remonte à bien plus loin (encore présent ?), d’une enfant qui eu (a) peur, un jour, de se retrouver à la Une d’un « drame familial ». 


Alors si vous connaissez quelqu’un dans la détresse, s’il vous plaît, partagez-lui ces adresses et ces numéros.  

Même une goutte d’eau peut faire des miracles. 


Prenez soin de vous et de vos enfants ! 

© Une semaine sur deux.


[ Happy week-end ! ]

Aïe aïe aïe, les retrouvailles anticipées c’est fabuleux mais la séparation est rude après 1 semaine et demi de bonheur, de partage de microbes, de rires, de vie !
Vite, vite, un bon film, un bon plaid, une collation bien calorique, des copines, du ménage, de la déco, des achats de noël et beaucoup d'imprévus ♡ 

Vite, vite, j’ai un espace, un cœur, une absence, un silence à combler !


© Une semaine sur deux

[ Du bonheur dans les spaghettis ]

Papa en déplacement,
Maman en remplacement.
Retrouvailles anticipées,
Joie assurée !
Petite surprise préparée,
En souvenir de Mia adorée.
Un mercredi au goût de vendredi,
Ce sera du bonheur dans les spaghettis ! ♡ 🍝 ♡
© Une semaine sur deux

[ Autumn ]

En automne, la lumière diminue et l'eau se refroidit.
Période néfaste pour les cyclothymies et les dysthymies, il est venu le temps des dépressions saisonnières.
La météo est instable et mon humeur aussi.
Alors, pour ne pas sombrer dans la mélancolie automnale, il m’est précieux de redoubler de bienveillance envers moi-même et je n’hésite pas à me faire plaisir, et encore plus les semaines où mon petit cœur de garçon est absent et qu’il me manque sa chaleur pour me stimuler ♡.
À chacune et chacun de trouver son réconfort là où du bien-être est ressenti.
Moi, je puise de la douceur dans des instants anodins et simples, que je m’autorise tout au long de l’année d’ailleurs, mais que je savoure différemment à cette époque peut-être ; un bain chaud, un thé accompagné d'un (ou plusieurs) carré(s) de chocolat, des bougies et un livre sous un plaid, un film au cinéma, l’odeur dans toute ma maison du gâteau qui cuit dans le four, une marche en forêt, cuisiner et me régaler d'une soupe maison, une raclette entre amis, une journée pyjama (au coin du feu, ce serait encore tellement mieux), des marrons grillés, un café et un bonbon, le brunch du dimanche, ranger et réaménager mon chez moi, traîner au lit, m'appliquer un soin du visage, préparer des pancakes pour le petit déjeuner, courir (un petit peu, hein), regarder tous les épisodes d’Hercule Poirot (j'assume !), réaliser des montages vidéos/photos, rêver à mes prochaines vacances, écrire, écrire ici ou ailleurs …
Bien sûr, cette liste est loin d’être exhaustive, mais ce sont des illustrations de mes satisfactions modestes que je m’offre seule, à deux ou à plusieurs.
Et n’oublions pas que l’automne, reste la saison des couleurs chaudes :
🍂 Le jaune ; « nulle couleur n'est plus joyeuse que le jaune. Couleur du soleil, de la fête et de la joie, elle permet d'égayer un univers et de le faire rayonner ».

🍄 Le rouge ; « est sûrement la couleur la plus fascinante et ambiguë qui soit ».

🍁 L’orange ; « c'est une couleur tonifiante et piquante qui insuffle partout où elle passe une dose de bonne humeur ».

🌰 Le marron ; « couleur de la terre par excellence, le marron est une couleur douce, rassurante et presque maternelle ».

🐿 Le doré : « sa vue réchauffe le cœur et l'esprit, on se sent en sécurité dans un univers doré, car il nous ramène à l'aisance matérielle ».


Oui, prenons le temps de nous poser pour observer, alors on pourra voir le beau et les couleurs derrière la grisaille.

© Une semaine sur deux



[ Tristesse ]

Des nouvelles empreintes de tristesse :
Titou est effondré.
Sa nuit n'a été que larmes.
Sa joie de vivre est en berne.
Il n'y a pas plus terrible pour moi que d'être loin de mon enfant qui souffre #unesemainesurdeux 
Je le retrouve demain pour quelques heures, je pourrais le serrer fort contre mon cœur. 
#mia


© Une semaine sur deux



[ Mia 😿 ]

Mardi 29 octobre 2019 💔

C'est une bien triste nouvelle que je viens d'apprendre.

L’amie de Titou, sa confidente des semaines impaires, Mia, sa petite chatte préférée et adorée (des deux adoptées l'année dernière), s’est faite écrasée.
C’est son papa, en déplacement, alerté par un voisin, qui vient de me prévenir. 
Il annoncera à son fils, la mauvaise nouvelle à son retour. 

C’est donc un véritable drame qui va se jouer dans quelques heures. 

Après la perte de Doudou c’est une autre épreuve à laquelle Titou devra faire face. 
Son premier véritable deuil à affronter. 
Son chagrin va être immense. 

Un lien fusionnel s’était créé entre ces deux-là. 

J’ai peur, très peur. 
Son père aussi appréhende énormément le désespoir que nous ne pourrons empêcher.

Je ressens la douleur qu’il va éprouver. 
Et je me sens déjà tellement impuissante devant sa détresse à venir. 
Je voudrais, mais je ne peux pas et je ne dois pas, lui épargner cette peine. 

C’est l’école de la vie. 

Il y a encore Princesse, la sœur de Mia, qui aura besoin de Titou plus que jamais, et je ne doute pas qu’ils se consoleront ensemble de ce manque à combler. 

Mais ne me dites que c’est seulement un animal, que ce n’est pas grave, oh non, parce que moi, qui ne suis pas réellement l’amie des bêtes, je peux vous assurer, que ce chat-là, que Mia, représentait bien plus pour mon garçon. 
Elle avait conquis son cœur, il conservait un rôle très protecteur avec elle. 
Il avait demandé conseil au vétérinaire et c’est lui qui lui prodiguait les soins quotidien, il se documentait sur la « vie des chats », il était vraiment investi pour l’éduquer et la choyer 💖.

Mia aura vécu seulement un an et quelques mois auprès de Titou avant de connaitre cette tragique fin de vie. 

Nous ne pourrons que l’accompagner et l’entourer, nous ses parents, pour l’aider à surmonter cette perte. 

Nos vacances riches et joyeuses, se terminent sur une bien triste note. 

Même si je sais, que Mia ♥ restera dans son cœur ; que les anecdotes et les souvenirs jalonneront ses années futures, et surtout, j’en ai la certitude, que d’autres compagnons de route viendront partager l’existence de mon petit bonhomme,

J’ai peur, très peur ... ♥ 



© Une semaine sur deux

[ Dans quelques heures ...]

Dans quelques heures, enfin, je LE retrouve 💙
Dans quelques heures, nous serons en vacances 🧳
Dans quelques heures, nous partirons à la conquête des dragons 🐉
Dans quelques heures, la vie va (re)commencer 🥳






© Une semaine sur deux

[ Mes ténèbres ]

Parfois s’arrêter.
Puis s’écrouler en pleurs sans même comprendre ce qu’il se passe.
Ressentir ce vide.
Abyssal.
Cette plaie ouverte que personne ne peut refermer.
Cette absence qui peine mon âme.
Un néant bien plus sombre que le manque de mon Titou.
Se relever.
Continuer.
Sourire.

Vivre et aimer la vie...

...Jusqu’à la prochaine abîme.





@ Une semaine sur deux

[ ♡♡♡ ]




« La distance est uniquement un test afin de savoir jusqu'où l'amour peut voyager » ♡♡♡


[ Desperate Housewives ]

CE2. 2 ans et demi, que je côtoie ces « mamans modèles » de l’école, celles qui, avec un travail, accessoirement un mari, des enfants, s’investissent et se dévouent dans la vie de l’école. 

Respect ! 



Moi plutôt Susan que Bree, j’avais envie, cette année, de devenir une de ces Desperate Housewives de l’Ouest Lyonnais !
Me voilà donc avec une (mini) responsabilité à assumer et une première réunion ce soir à 20h30 (oh yeah !)

Fin du rêve.

Depuis quelques jours, je cherche un mode de garde (puisque c’est ma semaine) pour mon Titou. #teamdesmamanssolos 💪

Je galère, (eh oui sinon ce n'est pas drôle), avec toutes mes « nounous » indisponibles et mon énergie se vide à tenter de trouver une solution pour satisfaire tout le monde.
Se plier en sept-huit, parce que l’un ne sera pas libre avant telle heure, untel est en déplacement, l’autre ne veut surtout pas dormir ailleurs, et sans oublier celui qui voudra rentrer avant la nuit.

On mélange tout ça et on obtient :
(roulement de tambour) ***** deux nounous (en alternance) pour une soirée ! 

Pas mal hein !? 😅

J’aurais pu aussi annuler ma participation, mais pour une première, je ne voulais pas prendre le risque des heures de colle !



Alors, ce soir c'est bien Desperate que je suis mais @&#$! les Housewives !! 😘😘😘


« Je suis parfoite. 

C'est-à-dire que je suis parfaite mais pas tout le temps »



© Une semaine sur deux