Puis s’écrouler en pleurs sans même comprendre ce qu’il se passe.
Ressentir ce vide.
Abyssal.
Cette plaie ouverte que personne ne peut refermer.
Cette absence qui peine mon âme.
Un néant bien plus sombre que le manque de mon Titou.
Se relever.
Continuer.
Sourire.
Vivre et aimer la vie...
...Jusqu’à la prochaine abîme.
@ Une semaine sur deux
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