[ ♥ lourd ]

Voilà, mon année va se terminer sans titou à mes côtés, il sera avec son papa pour clore cette année 2017.
« C’est le jeu ma pauvre lucette » (...)
Quoiqu’il en soit mes semaines sont belles et celle-ci était particulièrement « magique ».
C’est toujours plus difficile une séparation après des vacances, où il y peu de place au vide et au silence. Il prend toute la place, toute sa place, les journées sont rythmées par son humeur. Pas de collègues, pas d’école, pas de périscolaire, pour vous préparer à cette absence. Le choc est brutal, le calme est pesant. Je sais que c’est l’histoire de quelques heures, (… moais d’accord, quelques jours), pour que je retrouve ma routine, ma maison rangée, mes films interdits aux moins de 10 ans, mes grasses matinées, mes bains, mes copines, mes bouquins. 
Mais m**** ! Moi je l’aime cette maison bruyante, en vrac, même ces matins matinaux parce que, quand il est là, la joie de vivre résonne en nous tellement fort. Oh elle va encore raisonner en moi, même seule, bien évidemment, elle sera juste un peu plus discrète... et si légèrement ... humide ... ♥

© Une semaine sur deux



[ Ma séparation ]

J’écris rarement sur ce sujet car, c’est très (très) intime et c’est encore difficile pour moi, d’assumer cet échec. 

Même si désormais je sais apprécier ma nouvelle vie, si mes joies commencent à effacer mes peines, et si titou est épanoui, ce qui est le plus important de tout, aujourd’hui je ressens la nécessité de me livrer un peu plus qu’à l’accoutumée.

A l’approche des fêtes, quand on se souvient que j’ai déménagé un 2 janvier, que j’ai quitté ma belle et grande maison pour un (joli) appartement (en location) deux fois plus petit, quand on se dit que l’on entame sa 4ème année de séparation, que l’on peine à trouver celui qui viendra semer la zizanie dans le complexe d’œdipe, et que cette année encore, mais aussi pour toutes les autres à venir, on aura Titou seulement pour une seule de ces 2 fêtes (Noël ou Jour de l’an, comme à un tirage au sort, et que le meilleur gagne), le cœur ne peut s’empêcher de se serrer. Cette vie rêvée, idéalisée, de la jolie famille avec 2/3/4/5 enfants, un chien et un chat, a été quelque peu écorchée…

C’est marrant … ou pas … Mais pour lui c’est moi qui l’ai quitté, et pour moi, c’est lui qui m’a quitté.

Alors la vérité ? On a raison tous les deux.

On a vécu 10 belles années, 10 années remplies de tout, d’amour, de colère, de peines, de joies, comme tout couple.

Mon Titou a été la reconnaissance de cet amour même si j’ai dû me battre pour convaincre son père, (1ère séparation en 2009 pour cela) il peut me remercier d’y avoir cru, car on a tout gagné cet été 2011.

Ces petites différences, les divergences déjà présentes mais sur lesquelles on ne veut pas s’attarder, on se rassure en se disant que c’est normal, les contraires s’attirent, c’est comme ça, ces petits riens qui s’accentuent à la naissance d’un enfant mais que l’amour remporte à chaque fois. 

A chaque fois … sauf cette fois-là.

Deux personnalités différentes, des attentes différentes, on s’est complétés, puis éloignés.
Il rêve de liberté, d’indépendance et de sociabilité … Je rêve d’intimité, de famille et de complicité.
Nous vivions ensemble mais à côté. Son nouveau rôle de papa le comble tellement que je peine à trouver ma place en tant que femme (eh oui, l’inverse est plus courant mais c’est sans compter sur mon manque d’affection extrême).
J’attendais trop de choses qu’il ne pouvait me donner.
Que personne n’aurait pu me donner d’ailleurs, mais ça on le comprend au fil du temps, des épreuves, et des remises en question.
Il ne voulait pas voir, pas comprendre mon mal être certainement impuissant et dans l’incompréhension devant mes réclamations, très maladroites et violentes.
Je voulais le retenir, je l’ai fait fuir un peu plus encore.
J‘ai essayé de combler ailleurs ce qu’il ne voulait/pouvait plus me donner, ses sentiments étaient peut-être déjà éteints. Je voulais nous laisser une chance, lui pas. Il faut être deux pour sauver un couple. Le clap de fin a sonné.

C’est la faute à personne ou à nous deux. Il a fallu quelques séances de thérapies pour comprendre l’impact de mon enfance sur ma vie d’aujourd’hui. J’ai cette capacité à accepter mes erreurs, et à me remettre en question, encore et toujours.
J’étais perdue. Je me suis retrouvée.

Désormais, je sais qui je suis, je connais mes qualités, mes failles, et je sais que je suis une fille extraordinaire, une hypersensible, une émotive, et c’est ce qui fait de moi cette personne si « attachiante ».

Je suis en demande d’attention et de reconnaissance permanentes, parce que c’est certainement ce dont j’ai le plus manqué mais je suis surprenante et j’ai gardé cette âme d’enfant, je pleure et je m’émerveille pour tout et rien. Mes émotions guident ma vie, parfois c’est génial, parfois c’est épuisant.
Et je suis certaine que le père de mon fils vous dirait exactement la même chose, car c’est bien de cette fille là qu’il était tombé amoureux.

Rares sont les personnes qui me connaissent vraiment, je me livre totalement à quelques privilégiés (ou condamnés) je laisse pénétrer ma vraie intimité à un cercle très restreint, certainement par peur d’être jugée. Car tout le monde juge tout le monde, tout le monde sait mieux que tout le monde. Si c’est bien ça que j’ai compris aujourd’hui, c’est que chacun fait ce qu’il peut. Qu’on ne choisit pas toujours, parfois, souvent même, la vie s’impose à nous. Aujourd’hui juste envie d’être vraie.

J’ai et j’aurai toujours des sentiments pour cet homme qui m’a apporté tout ce dont il pouvait lui-même. Il est un merveilleux papa, très présent pour son fils.

Heureuse d’avoir partagé un bout de chemin avec lui.
Fière qu’il soit le père de mon Titou.
Il y aura parfois des choses qui m’agaceront, sinon ce ne serait pas rigolo, et je lui fais confiance pour pester sur mes défauts, ben oui, sinon pourquoi être séparés me direz-vous.
Mais il a sa place dans mon ♥ et je sais que j’ai la mienne dans le sien.


Je n’aurais jamais pu écrire tout ceci il y a 3-4 ans en arrière, ma séparation a été un tsunami, j’ai été hospitalisée une nuit, j’ai connu les antidépresseurs et les anxiolytiques. Le monde qui s’écroule, ce sentiment de ne pas mériter d’être aimée, la culpabilité d’offrir à Titou cette vie de « une semaine sur deux » ne m’a plus jamais quittée. Mais en contrepartie, elle m’a aussi apprise à être plus forte, plus indépendante et à accepter mes imperfections, mes blessures. Je n’ai plus honte d’être moi (enfin presque). Toutes mes expériences de vie de ces 3-4 dernières années sont le résultat de cette prise de conscience.

Depuis, je m’efforce d’offrir à mon fils le meilleur de moi-même mais oui parfois je pleure encore, plus rarement mais il m’arrive d’avoir la nostalgie de ma vie d’avant, et ce moment des Fêtes s’y prête particulièrement. Il me faudra certainement attendre de reconstruire une autre vie de « famille recomposée » avant que cette mélancolie s’adoucisse définitivement.
Je cite une phrase d’un de ces textes que j’affectionne tant, qui résonne en moi : « Puis, un jour, vous grandirez et vous comprendrez que j’ai peut-être brisé notre famille, mais je vous ai offert de bien meilleurs parents ».

Je remercie celle ou celui qui sera arrivé à lire jusqu’ici. 

J’espère que ce témoignage sincère et authentique vous permettra de relativiser en vous disant, « waouh ma vie à moi est tellement mieux, faut que je profite » ou bien que quoique vous traversiez comme épreuve, il y a toujours du positif quelque part. Prenez soin de vous  ♥

© Une semaine sur deux

[ Recette pour une garde alternée réussie ]

« Chère Maman, Cher Papa,

N’oubliez jamais: je suis l’enfant de vous deux . Maintenant, vous ne vivez plus ensemble, mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre.

Ne me demandez pas si j’aime plus l’un ou l’autre. Je vous aime tous les deux tout autant. Ne critiquez donc pas l’autre devant moi. Car cela me fait mal.

Aidez-moi à maintenir le contact avec celui d’entre-vous chez qui je ne suis pas. Formez son numéro de téléphone pour moi, ou écrivez-moi son adresse sur une enveloppe.

Aidez-moi, à Noël ou à l’occasion de son anniversaire, de lui confectionner ou de lui acheter un beau cadeau. De mes photos, faites-en toujours une copie pour l’autre.

Conversez comme des adultes . Mais conversez. Et ne m’utilisez pas comme messager entre vous – encore moins pour des messages qui rendront l’autre triste ou furieux.

Ne soyez pas triste quand je vais chez l’autre. Celui que je quitte ne doit pas penser que je ne l’aimerai plus d’ici quelques jours. Je préférerais toujours être avec vous deux. Mais je ne peux pas me couper en deux – seulement parce que notre famille s’est déchirée.

Ne prévoyez jamais rien durant le temps qui m’appartient avec l’autre. Une partie de mon temps est à ma Maman et à moi; une partie de mon temps est à mon Papa et à moi. Soyez compréhensifs.

Ne soyez ni étonnés ni fâchés quand je suis chez l’autre et que je ne donne pas de nouvelles. J’ai maintenant deux maisons. Et je dois bien les distinguer – sinon je ne m’y retrouve plus du tout.

Ne me passez pas à l’autre , à la porte de la maison, comme un paquet. Invitez l’autre pour un court instant à l’intérieur et conversez . Quand je suis recherché ou ramené, laissez-moi un court instant avec vous deux. Ne détruisez pas ce moment en vous fâchant ou vous disputant.

Laissez-moi être ramené par quelqu’un d’autre de la Maternelle ou de chez des amis si vous ne pouvez supporter le regard de l’autre.
Ne vous disputez pas devant moi . Soyez au moins aussi poli que vous le seriez avec d’autres personnes, comme vous l’exigez aussi de moi.

Ne me racontez pas des choses que je ne peux pas encore comprendre. Discutez-en avec d’autres adultes, mais pas avec moi.

Laissez-moi amener mes amis chez tous les deux. Je souhaite qu’ils puissent connaître ma Maman et mon Papa et les trouver sympa.

Mettez-vous d’accord au sujet de l’argent. Je ne souhaite pas que l’un en ait beaucoup et l’autre très peu. Il faut que ce soit bien pour tous les deux, ainsi je pourrai être à l’aise chez tous les deux.

N’essayez pas de m’habituer à la surenchère. De toutes les façons, je ne pourrais jamais manger tout le chocolat que j’aimerais.

Dites-moi franchement s’il vous arrive de ne pas pouvoir boucler le budget. Pour moi, le temps est bien plus important que l’argent. Je m’amuse bien plus avec un jouet simple et comique qu’avec un nouveau jouet.

Ne soyez pas toujours "actifs" avec moi. Cela ne doit pas toujours être quelque chose de fou ou de neuf quand vous faites quelque chose avec moi. Pour moi, le plus beau c’est quand nous sommes simplement heureux en train de jouer et que nous ayons un peu de calme.

Laissez le plus possible de choses identiques dans ma vie,comme c’était avant la séparation. Cela commence par ma chambre, ensuite sur les petites choses que j’ai faites tout seul avec mon Papa ou ma Maman.

Soyez aimable avec les grands-parents. Ils m’aiment et je les aime, ils veulent aussi être à mes côtés. Vous seriez aussi à mes côtés si je n’allais pas bien ! Je ne veux pas perdre, en plus, mes grands-parents.

Soyez "fairplay" avec le nouveau compagnon que l’un d’entre-vous rencontre ou a déjà rencontré. Je dois aussi m’entendre avec ces autres personnes. Je préfère quand vous ne vous espionnez pas jalousement l’un l’autre. Ce serait de toute façon mieux pour moi si vous rencontriez rapidement tous les deux quelqu’un que vous aimiez. Vous ne serez plus aussi fâchés l’un envers l’autre.

Soyez optimistes.
Vous n’avez pu gérer votre couple, mais laissez-nous au moins le temps que cela se passe ensuite bien.
Relisez toutes mes demandes
Peut-être en discuterez-vous. Mais ne vous chamaillez pas.




N’utilisez pas mes demandes pour faire des reproches à l’autre, aussi mal qu’il ait pu être avec moi ou que vous ayez cru qu’il le soit.

Si vous ne faites pas cela, vous n’aurez pas compris comment je me sens et ce dont j’ai besoin pour me sentir heureux. » (Jafland)







[ Escapade à Paris ... à 3 ]

Parce que notre fils est notre priorité, 

Parce qu’officiellement encore aucun de nous n’a refait sa vie, parce que c’est notre choix, parce que je veux faire plaisir à mon bébé, parce que ça nous arrive 1 à 2 fois par an, parce qu’il n’y a plus d’ambigüité, parce que nous nous respectons, parce que chacun fait comme il peut/veut, parce qu’on lui explique, parce qu’il faut arrêter de juger, parce qu’on ne lui laisse pas de faux espoirs, parce que chaque situation est différente, parce qu'il est heureux, parce que j’ai le vertige, parce que, parce que … c’est comme ça ! 

Récemment une personne extérieure à notre entourage, nous a dit : « qu’est-ce qu’il est épanoui votre fils, félicitations ».

Alors oui, c’est avec son papa, que nous sommes partis, tous les 3, à la conquête de Paris, le temps d’une journée.
Et le bonheur de mon Titou  vaut bien toutes les critiques et les jalousies des mauvaises langues.

© Une semaine sur deux

[ Ma plus belle déclaration ]

« Maman, finalement ce n'est pas mal une semaine sur deux, comme ça je suis tout le temps avec maman, et tout le temps avec papa, quand on est ensemble »  ♥

Comment vous dire … quand votre enfant s'exprime innocemment, spontanément… c’est presque un choc. Je n’ai pas pu retenir mes larmes devant tant ... de maturité.
Bien sûr, je prends du recul, il y a encore quelques semaines, il me demandait si des parents séparés pouvaient se remettre ensemble. 


Mais qu’il arrive, de lui-même, à trouver quelques avantages à cette garde alternée, c’est tout simplement réconfortant pour mon cœur de maman.
J’ai culpabilisé et culpabilise encore de lui offrir cette vie de nomade où il doit se partager ses parents et changer de maison, de jouets, de règles, tous les 7 dodos mais je sais que j’ai réussi, nous avons réussi, avec son père, à lui assurer un équilibre épanouissant.
L’amour, le secret c’est l’amour que nous lui portons et le respect que nous avons su garder, l’un envers l’autre, son père et moi 

On continue d’avancer avec titou, on vit nos petites aventures, nos rires, nos pleurs, nos soucis, nos bonheurs… merci de les partager avec nous  
Maintenant, reste plus qu’à attendre celui qui voudra bien venir mettre le bazar dans cette histoire d’amour entre une mère et son fils ♥

[ #arret sur pause ]

J’écris souvent quand j’ai un coup de blues mais rarement quand je vais bien.


Alors pour une fois, même s’il y aura encore des moments compliqués, j’ai envie de laisser une trace sur le papier de ces petits moments « parfaits » pour moi. Pour les relire justement quand j’en aurai besoin mais aussi parce que dans ce monde qui va mal, prendre le temps d’apprécier ce qui va bien est une chance.


Oui, je kiffe ma vie. Enfin. Et j’ose le dire sans culpabilité.

Bon d’accord, ne nous emballons pas trop vite, titou va rentrer au CP, si vous saviez comme je suis fière de le voir grandir et à la fois désespérée « de tout ce qui s’en va avec ». Seules certaines personnes peuvent comprendre cette tristesse exagérée à chaque changement, cette nostalgie trop prononcée mais ce sera l’objet d’un autre post.

Aujourd’hui, même si mon titou me manque (c’est indéniable) une semaine sur deux, et qu’il manquera toujours des semaines, des jours, des heures, des minutes, des secondes de lui, à ma vie…


J’essaie de profiter et d’apprécier l’instant présent. 

Doucement mais sûrement. Un pas après l’autre. Ce fameux lâcher prise qui m’a toujours tant attiré mais que je pensais inaccessible.

Certains d’entre vous, pourront s’imaginer que j’ai rencontré le prince charmant … même pas. Et c’est ça qui est d’autant plus merveilleux, j’aime ma vie comme elle est avec ce que j'ai et ce qui me manque.


Avec ma séparation, j’ai perdu des amis, j’ai gardé les meilleurs et j’en ai gagné d’autres. Je suis entourée de belles personnes.  Elles sont essentielles à mon équilibre.


J’ai gagné en maturité, en indépendance car j’ai vécu des expériences de vie, qui m’ont fait grandir et me connaitre.


A 38 ans… Mieux vaut tard que jamais.

Rien est gagné certes, mais je m'en donne les moyens !


J’apprécie mon joli chez moi, mon café sur ma terrasse, mes soirées entre amis, un bon verre de vin, mon grand lit toute seule (quel pied !), de reporter mon ménage au lendemain, au surlendemain, au sursurlendemain, ma complicité avec mon titou, mon livre, mon bain, mes bougies, mes tentatives de faire du sport, mes petits projets, ma petite routine, mes imprévus, mes pique-nique, mes balades, mes cinés, mes idées folles... 


Ces petits riens qui font ma vie, ces petites choses qui me font du bien au coeur.

© Une semaine sur deux

Et même si demain sera un autre jour et qu’il y aura encore des baisses de moral, des coups de gueule, des pleurs, parce que ça c’est la vie et le quotidien de tous... 


Pendant quelques minutes, j’arrête le temps et je savoure ce que je suis en train de faire là ici et maintenant sans repenser au passé, sans avoir peur de l’avenir.


… Respirez, soufflez … appréciez ce que vous faites, ce que vous êtes.

On le mérite tous tellement ♥ 

[ Journal de bord d'une maman, une semaine sur deux ]


Je m’appelle Céline et je suis séparée.​Je vis en région lyonnaise.Maman d’un petit garçon né en 2011, en garde alternée depuis janvier 2015, ici je partage mes humeurs, mes rires, mes peurs, mes larmes, mes joies, toutes ces émotions qui font notre quotidien. Je vous faire découvrir à travers mes témoignages et ressentis, cette nouvelle vie qu'il a bien fallu apprivoiser, avec ses petites difficultés mais aussi ses grands bonheurs.

Ce n’est pas donné à tout le monde d’avoir deux vies en une. 

Car oui, je dois bien l’avouer mes semaines se suivent mais ne se ressemblent pas.
Venez partager votre sympathie, vos conseils, vos suggestions ou vos témoignages et pourquoi pas venir puiser quelques pistes pour votre propre chemin.
Car je sais que je ne suis pas la seule dans cette situation et le partage d'expériences est une aide précieuse !

Ici vous trouverez bienveillance, respect et encouragements !


« Personne ne peut revenir en arrière et créer un nouveau départ, mais tout le monde peut commencer aujourd’hui et créer une nouvelle fin »