[ Porte toi bien, te laisse pas tomber ]

Il y a parfois des drames qui se jouent à l’intérieur des jolies maisons.
Je disais, il n’y a pas si longtemps, qu’il était difficile de voir son enfant souffrir et de se sentir impuissant(e), mais cela vaut pour toutes les personnes auxquelles nous tenons !
Une personne de mon entourage proche vient de connaitre, et de nous faire vivre, des heures sombres. 
Si je ne souhaite pas m’étendre sur les événements, et que nous garderons ce sujet uniquement pour la sphère très très très intime, ces quelques lignes me sont essentielles pour témoigner de :

« A quelque chose malheur est bon » ; car il y a quelques jours, j’ai vu des cœurs s’ouvrir, des larmes (longtemps contenues) couler, des mots d'affection se dirent, des êtres devenir des héros...🖤
Ce n’est que le début, la continuité ou la fin d'un malaise latent, mais la seule motivation qui nous aura conduites jusque dans les ténèbres, aussi surprenant soit-il : l’Amour que nous nous portons les uns pour les autres. 
Oui, on dit qu'il faut parfois un mal pour un bien.

Je veux croire à la lumière derrière l'obscurité.
Respect et admiration devant Titou et sa jolie cousine, qui nous apprennent tous les jours, comment aimer avec un grand A.
Promettez-moi de prendre soin de vous surtout ! 
N'oubliez pas que pour être bien avec les autres, avec vos enfants, il faut d'abord se sentir bien soi-même ! C'est si important...😘

Positive Energy ! 🍀 La vie continue ! Happy week-end.



© Une semaine sur deux

[ Je voudrais que tu saches ]

Je voudrais que tu saches que je t’aime.

Parce que qu’on ne t’a pas appris à aimer.
Parce qu’on t’a fait la guerre.
Parce que les démons ont envahi ton être.
Parce qu’il y a un combat féroce que tu mènes à l’intérieur.

Mais je voudrais que tu saches que je t’en veux.

Quand de victime à bourreau parfois tu vacilles.
Quand de cible, parfois tu t’égares.
Quand parfois le malin sort de ton corps.
Quand parfois sur notre innocence, il se venge.



Je voudrais que tu saches que je t’aime.

T’aider et t’apaiser nous voulons faire,
S’il te plaît laisse nous faire,
Plus jamais je ne voudrais faire,
Ce qu’une enfant ne devrait faire,

Mais je voudrais que tu saches que je t’en veux.

Des mots blessants qui peinent nos cœurs,
De cette décision qui a bouleversé mon cœur.
Des heures noires qui ont terni nos cœurs.
Des cicatrices à jamais ancrées dans nos cœurs.

Je voudrais que tu saches que je t’aime.

Il est temps de brûler ton passé.
Il est temps pour ton âme de se soigner.
Il est temps de te libérer.
Il est temps d’apprendre à aimer.

Je voudrais que tu saches,..... que je t’aime tellement.

© Une semaine sur deux

[ Tendresse ]

🙃 « Maman, comment tu fabriques les câlins ? » 

🥰 « Je vais te montrer mon Titou »
🥳 « Attends, je sors du bain et tu m’expliques »


Il y a des moments comme ça chez nous ❤️


© Une semaine sur deux


[ Drame Familial ]

« Je ne souhaiterais aucune polémique ou aucun débat et surtout aucun jugement dans ces quelques lignes qui suivent. 


J’écris comme d’habitude avec mon cœur, mes émotions, mon ressenti (mes tripes ?!) et ce texte se veut à 
« 
but utile 
»
, s’il le peut à son échelle, pour aider les personnes en souffrance. 

Merci de votre attention et de votre compréhension ». 

💕 💕 💕 

L’actualité regorge de faits divers et depuis quelques temps déjà, je me tiens éloignée de toutes les « mauvaises nouvelles », d’abord pour protéger mon Titou et aussi parce que je me suis vite aperçue que je ne m’en portais pas plus mal.

Seulement, il devient difficile d’échapper à tout (et tout n’est pas mauvais heureusement), surtout quand on travaille avec le Web et que l’on utilise de manière régulière les réseaux sociaux. 

Ces derniers temps, j’ai vu « passer » beaucoup (trop) d’articles relatant de « drames familiaux ». 
Incontestablement, les violences faites aux femmes, sujet très actuel, mais ici, j'évoque surtout ceux qui impliquent les enfants qui sont désastreusement, « entraînés » dans la mort. 

Je constate que la plupart de ces tragédies interviennent très souvent lors d’un cas de divorce ou de séparation des parents. 
Je ne connais pas les statistiques, et je n’irai pas les chercher, mais dans ce que j’ai pu lire dernièrement, sont concernés par ces gestes malheureux, aussi bien les papas que les mamans ! 

Nous sommes tous fragilisés psychologiquement quand une séparation, un bouleversement de vie survient, que ce soit voulu ou subi. 

Je rappelle cependant que nos enfants sont les premières victimes innocentes des difficultés que nous pouvons rencontrer, nous : parents et adultes. 

S’il m’est véritablement inconcevable  d’imaginer qu’un parent puisse faire du mal à son enfant, et encore moins lui ôter sa vie (comme la majorité d’entre vous, d’entre nous, fort heureusement) ; 

Je SAIS et je CONNAIS la détresse dans laquelle on peut se perdre après une séparation. 

Nous sommes tous émotionnellement différents et pour certains, une rupture peut-être un vrai désastre intérieur. 

Etre à terre, désespéré(e), vouloir que la douleur s’arrête et que le suicide puisse être envisagé, imaginé ; oh OUI je suis à même de le comprendre, peut-être même plus que vous ne pouvez l’imaginer. 

MAIS tuer ou entraîner un autre être vivant dans SA chute pour faire souffrir la personne que nous rendons responsable de notre malheur est un acte très lâche. 
➜ Surtout que nous avons tous une part de responsabilité dans nos échecs, même s’il est difficile pour certains de l’admettre. 
Il faut cependant faire une différence entre responsabilité et culpabilité, mais je développerai la distinction une prochaine fois, peut-être. 

Et même si vous êtes victime d’une véritable injustice, parce que c’est aussi souvent le cas, que « l’autre » décide de vous quitter, alors qu’il (elle) vous a humilié, frappé, trompé, peu importe le chaos dans lequel vous vous trouvez ;

Vos enfants méritent votre PROTECTION et non votre VENGEANCE. 

Car si aujourd’hui tout est noir, ce sont eux ; elle, lui, … eux, qui vous redonneront le sourire et qui vous donneront le courage de vous relever. 
Votre survie c’est peut-être et surement à vos enfants que vous le devrez ! 

Vous avez le droit de souffrir, vous avez le droit d’être malheureux(se) , vous avez le droit d’être une victime, vous avez le droit d’avoir mal, vous avez le droit d’être en colère, vous avez le droit qu’on vous demande pardon, vous avez le droit de ne plus vous sentir capable, vous avez le droit de haïr l’autre, vous avez le droit d’être en dépression et vous avez même le droit de souhaiter mourir ! 

MAIS vous n’avez pas le droit de vie ou de mort, personne d’ailleurs, sur un autre individu, qu'il soit enfant ou adulte. 

Par contre, vous avez le droit et même le devoir de demander de l’aide ! 

Votre couple est peut-être en perdition aujourd'hui, inévitablement que cet échec sera difficile à surmonter mais je peux vous assurer une chose ; vous vous en sortirez, je vous le PROMETS ! 

Alors si une quelconque pensée (très sérieusement) négative, venait à vous traverser l’esprit, et que vous pensez votre dernier espoir envolé, moi je vous HURLE qu’il y en a encore un ! 


Demander de l’aide est un acte qui demande du courage,
alors soyez COURAGEUX(SE) maintenant ! 



Besoin d'aide ? France
09 72 39 40 50 
Horaires: 24h/24 7Jours/7 
Site Web:www.sos-amitie.org 


SOS Suicide Phénix 
Accueil et écoute de toute personne confrontée à la problématique du suicide. 
Permanence d’écoute téléphonique 7j/7. 
Permanence d’écoute par messagerie accessible depuis le site internet de l’association. 
Ligne nationale : 0 825 12 03 64 (de 16 h à 23 h). 
Ligne Ile-de-France : 01 40 44 46 45 (de 12h à minuit). 
Site Internet : www.sos-suicide-phenix.org 




Moi-même, je suis à votre écoute ; votre désarroi, votre peur, votre vide, je les connais, on peut en parler ! Je pourrais témoigner de  ma séparation, mon expérience, ma culpabilité, mes combats, mais surtout mes victoires ! 

Et puis peut-être que je vous parlerais d’un autre vécu, plus intime et personnel, qui remonte à bien plus loin (encore présent ?), d’une enfant qui eu (a) peur, un jour, de se retrouver à la Une d’un « drame familial ». 


Alors si vous connaissez quelqu’un dans la détresse, s’il vous plaît, partagez-lui ces adresses et ces numéros.  

Même une goutte d’eau peut faire des miracles. 


Prenez soin de vous et de vos enfants ! 

© Une semaine sur deux.


[ Happy week-end ! ]

Aïe aïe aïe, les retrouvailles anticipées c’est fabuleux mais la séparation est rude après 1 semaine et demi de bonheur, de partage de microbes, de rires, de vie !
Vite, vite, un bon film, un bon plaid, une collation bien calorique, des copines, du ménage, de la déco, des achats de noël et beaucoup d'imprévus ♡ 

Vite, vite, j’ai un espace, un cœur, une absence, un silence à combler !


© Une semaine sur deux

[ Du bonheur dans les spaghettis ]

Papa en déplacement,
Maman en remplacement.
Retrouvailles anticipées,
Joie assurée !
Petite surprise préparée,
En souvenir de Mia adorée.
Un mercredi au goût de vendredi,
Ce sera du bonheur dans les spaghettis ! ♡ 🍝 ♡
© Une semaine sur deux

[ Autumn ]

En automne, la lumière diminue et l'eau se refroidit.
Période néfaste pour les cyclothymies et les dysthymies, il est venu le temps des dépressions saisonnières.
La météo est instable et mon humeur aussi.
Alors, pour ne pas sombrer dans la mélancolie automnale, il m’est précieux de redoubler de bienveillance envers moi-même et je n’hésite pas à me faire plaisir, et encore plus les semaines où mon petit cœur de garçon est absent et qu’il me manque sa chaleur pour me stimuler ♡.
À chacune et chacun de trouver son réconfort là où du bien-être est ressenti.
Moi, je puise de la douceur dans des instants anodins et simples, que je m’autorise tout au long de l’année d’ailleurs, mais que je savoure différemment à cette époque peut-être ; un bain chaud, un thé accompagné d'un (ou plusieurs) carré(s) de chocolat, des bougies et un livre sous un plaid, un film au cinéma, l’odeur dans toute ma maison du gâteau qui cuit dans le four, une marche en forêt, cuisiner et me régaler d'une soupe maison, une raclette entre amis, une journée pyjama (au coin du feu, ce serait encore tellement mieux), des marrons grillés, un café et un bonbon, le brunch du dimanche, ranger et réaménager mon chez moi, traîner au lit, m'appliquer un soin du visage, préparer des pancakes pour le petit déjeuner, courir (un petit peu, hein), regarder tous les épisodes d’Hercule Poirot (j'assume !), réaliser des montages vidéos/photos, rêver à mes prochaines vacances, écrire, écrire ici ou ailleurs …
Bien sûr, cette liste est loin d’être exhaustive, mais ce sont des illustrations de mes satisfactions modestes que je m’offre seule, à deux ou à plusieurs.
Et n’oublions pas que l’automne, reste la saison des couleurs chaudes :
🍂 Le jaune ; « nulle couleur n'est plus joyeuse que le jaune. Couleur du soleil, de la fête et de la joie, elle permet d'égayer un univers et de le faire rayonner ».

🍄 Le rouge ; « est sûrement la couleur la plus fascinante et ambiguë qui soit ».

🍁 L’orange ; « c'est une couleur tonifiante et piquante qui insuffle partout où elle passe une dose de bonne humeur ».

🌰 Le marron ; « couleur de la terre par excellence, le marron est une couleur douce, rassurante et presque maternelle ».

🐿 Le doré : « sa vue réchauffe le cœur et l'esprit, on se sent en sécurité dans un univers doré, car il nous ramène à l'aisance matérielle ».


Oui, prenons le temps de nous poser pour observer, alors on pourra voir le beau et les couleurs derrière la grisaille.

© Une semaine sur deux



[ Tristesse ]

Des nouvelles empreintes de tristesse :
Titou est effondré.
Sa nuit n'a été que larmes.
Sa joie de vivre est en berne.
Il n'y a pas plus terrible pour moi que d'être loin de mon enfant qui souffre #unesemainesurdeux 
Je le retrouve demain pour quelques heures, je pourrais le serrer fort contre mon cœur. 
#mia


© Une semaine sur deux