[ Mais Tellement ! ]

Tu étais tellement désiré.
Je t’ai tellement attendu.
Je t’ai aimé dès les premiers instants, tellement.
T’avoir auprès de moi était tellement mon plus grand bonheur.
Alors quand il a fallu s’en aller, ma peine était tellement grande,
Que j’ai cru que jamais plus je ne serais tellement heureuse, 
Tellement mon chagrin était immense.

Même si notre vie est remplie de joies, de tendresse et de tellement d’amour.

T’avoir une semaine sur deux est et restera tellement, le drame de ma vie.



[ Besoin de rien, envie de toi ]


Pressée d’être envahie dans mon espace, hâte d’être réveillée avant le soleil, désireuse des contraintes horaires, impatiente d’être inondée de «maman ? maman ? maman ? maman ?», avide de devoirs (de maths), besoin de désordre, envie de bouderies.

Oh oui, tellement heureuse de te retrouver enfin ♡

© Une semaine sur deux

[ Une semaine sur deux ]



Une semaine sur deux,
Mon cœur est séparé en deux,
Une semaine sur deux,
Mon vendredi est cafardeux,
Une semaine sur deux,
Je te cherche des yeux,
Une semaine sur deux,
Mon quotidien est ennuyeux,
Une semaine sur deux,
J’attends ton retour glorieux,
Une semaine sur deux,
Je t'aime comme pas deux !



© Une semaine sur deux









[ Les mots Blêmes ]

À l'homme qui, un jour, s'arrêtera...

On ne naît pas femme, on le devient !
c'est un parcours, une évidence.
Après des années d'errance,
à rechercher ma propre essence,
j'ai déposé, mes lourdes valises,
surmontée la douleur de l'absence,
et transformée mes défaites, en savoirs instruits.
Je ne suis pas une femme pour tout le monde,
mais je suis prête à t'accueillir dans le mien !
Cependant, il ne faut pas que tu confondes,
amour et acquis.
Sache que, je ne rentre pas dans la norme,
Je préfère vivre seule plutôt que d'être accompagnée de la mauvaise personne.
Je suis une femme et je le revendique !
Si je te déplais passe ton chemin !
Si je t'interpelle, arrêtes-toi sur le mien.
En entrant dans ma vie,
je te demande d'oublier tes éthiques,
Ta morale et tes dictacts appris.
Si tu es un homme conditionné,
dans le jugement et les préjugés,
surtout ne t'arrête pas...

Tout d'abord, je n'ai pas mauvais caractère, j'ai du caractère !
Je suis libre, mon indépendance n'a pas de prix.
Je ne veux personne pour m'entretenir,
Je me débrouille, même si les temps sont durs.
Si j'ai besoin de toi, je te le demanderai, sois-en sûr !
Je possède peu de choses, mais te les offrir est un plaisir.
Les pires moments de mon existence, ne définissent pas qui je suis !
Je ne te demande pas de t'apitoyer sur mon vécu,
ni même, de m'admirer pour le chemin parcouru.
Ne me lève pas la main dessus,
on l'a déjà fait !
Tu auras beau, cogner et hurler,
tu ne me feras jamais plier !
Traite moi avec respect,
je me laisserai apprivoiser.
J'ai souvent été déçu,
Mais je crois encore, en l'homme et sa bonté.
Je suis simple et sans artifices.
Si tu es honnête, je me mettrai à nue,
deviendrai ta confidente, ta complice...

Je ne fonctionne pas au besoin,
uniquement à l'envie !
Je veux que tu me tiennes la main,
mais que tu la lâches aussi.
Je suis aussi vive que le vent,
aussi joyeuse qu'une enfant !
Je m'émerveille de la vie,
J'aime l'imprévu et la folie !
Je suis une poussière du ciel,
un électron libre sous le soleil.
Je n'appartiens à personne,
j'ai ma propre volonté et je raisonne.
Je suis ton égale, le reflet de ton miroir,
celui de tes intentions, de tes espoirs.
Marche à mes côtés, mais ne me retiens pas.
Si tu me suis, ne m'enferme pas...

Ne me demande pas de cacher mon corps,
de rallonger mes jupes, d'être plus sexy !
Moi, j'aime la chaleur qui caresse ma peau,
les rayons de lune sur mon dos,
et la longueur de mes robes, ne fais pas de moi, une pute !
Ne me fait pas taire ou baisser les yeux !
Je me tairai, quand, ce sera l'heure de la mort,
et je regarde franchement, lorsque je discute.
J'ai des opinions et je les revendique !
Je peux changer d'avis, me fiche des critiques.
N'exige pas que je sois discrète, que je m'exclame moins fort !
Je ris à gorge déployée car le jugement des
autres m'importe peu.
Ne me fait pas de crise de jalousie,
ai confiance, je ne me donne pas à n'importe qui !
J'ai eu le choix et je t'ai choisi !
Je n'accepte pas le mensonge car je ne mens pas.
Si tu détestes le feu des discussions
mené avec enthousiasme et passion,
si tu ne juges pas utile d'affirmer tes ressentis,
n'es pas connecté à ton cœur,
si tu te laisses guider par les rancœurs,
que tu ne danses pas avec la vie,
si tu n'es pas un homme heureux,
surtout ne t'arrête pas...

Ne me demande pas de te soigner,
de recoudre ton cœur écorché,
d'être, ta maman, ton infirmière.
N'exige pas de moi, que je comble le vide de ta vie ,
pour que tu te sentes vivant,
car, j'ai déjà eu le privilège d'élever des enfants !
Ne m'impose pas, lorsque tu doutes, as peur,
l'ignorance ou les mots destructeurs !
Si tu as confiance en toi, tu n'es pas amer.
Ne te sens pas rejeté,
parce que je ne fais pas, ce que tu attendais !
Aime-moi, pour ce que je suis
et non, pour ce que tu voudrais que je sois !
Ne me manipule pas,
pour que je devienne insignifiante,
J'ai mis trop longtemps à me trouver,
pour que tu me fasses m'oublier !
Je me suis débarrassée, de mon ego.
Trouvé en moi, ce qu'il y avait de plus beau.
J'affectionne en moi, cette femme pétillante !
Et si, je ne te conviens pas, en tant que telle,
si malgré mes qualités, tu ne me trouve pas belle,
ne perds pas ton précieux temps,
À essayer de me faire perdre l'estime
que j'ai désormais, de moi-même...

Je suis peut-être à tes yeux,
un incompréhensible et joyeux bordel,
mais je suis une femme entière !
Je ne joue pas avec le cœur des gens,
je ne triche pas avec les sentiments !
Je n'aime pas souvent,
mais quand j'aime, j'aime vraiment !
Je me fous de tes biens matériels,
de ta fonction professionnelle.
Ta musculature ne m'intéresse pas,
les coqs de basse-cour ne m'attirent pas !
Je ne suis pas une femme superficielle,
ton charisme me suffira...

Alors, si, sur ta route esseulée,
tu croises mon cœur plein de lumière,
que tu souhaites bien plus, qu'un amour éphémère,
que tu es prêt à donner, autant qu'à recevoir,
assieds-toi sur ce banc avec moi,
et apprend à découvrir,
cette femme, qui, malgré les difficultés,
à sû s'apprendre, grandir,
et se réinventer à chaque nouveaux désespoirs..

N'ai pas peur de mes cicatrices !
je ne regrette rien de mon passé.
Il n'y a plus de fantômes dans mes placards,
plus d'ex, de furieux lascars !
Je n'ai pas de ressentiment,
je n'en veux pas au monde entier.
Je suis encore fragile parfois,
mais, uniquement dans tes bras.
Si tu me respectes, lis en moi,
je te donnerai bien plus, qu'un instant.
Mais il faut que tu saches,
qu'en moi, la magicienne se cache !
Si l'étrange ne raisonne pas en toi,
si la physique quantique n'a aucune valeur,
si l'invisible te fait peur,
si tu ne jure que par le factice,
Surtout ne t'arrête pas...

J'ai besoin d'un homme authentique à mes côtés,
qui croit encore aux sentiments, à l'utopie,
au sacrément, à l'alchimie.
Je veux t'entendre t'exprimer et frémir,
sur tes envies et tes volontés,
te sentir engagé dans le partage et l'avenir.
Malgré les batailles, je te veux sensible.
L'amour doit être ton moteur, ta bible.
Si tu ne rayonnes pas l'amour en toi, ne t'arrête pas...

Si, tout comme moi, tu as lâché tes idéaux,
cessé, tout conflit intérieur, jeté tous tes fardeaux,
Si tu es complet, que tu te sens de taille,
que l'engagement ne te fait plus fuir,
si tu penses que la vie est plus belle à s'unir,
que les compromis que l'on fait ne sont qu'un détail,
qu'ils coûtent peu, mais changent tout,
je te ferai goûter au bonheur doux,
à l'ivresse des tout-petits rien,
qui définissent les moments simples et sereins.
Je t'apprendrai à toucher mon âme,
pour que, de tes mains, tu l'enflammes.
Je t'enseignerai le parfum de ma peau,
les caresses que j'aime et qu'il me faut,
t'offrirai chaque parcelle de mon être,
pour une fusion à naître.
Peu à peu tu découvriras, une femme passionnée,
une amoureuse délicate et attentionnée...

Alors, si les vœux d'éternité,
les promesses écrites, avec sincérité,
font écho à ce que tu es,
pousse la porte que, pour toi,
je n'ai pas verrouillé.
Tu me trouveras derrière,
assise sur ce banc.
Je suis une femme à part entière,
et dans la bienveillance, je t'attends.
Entre, et crois en moi,
mon cœur prêt, n'attend que toi...


© Miss C.C Texte de source inconnue trouvé ici : Les mots Blêmes


[ Le blues, ça veut dire que je t'aime 🎶 ]

Nous sommes lundi et depuis que j’ai posé le pied par terre, je ressens comme un drôle de sentiment. Je pense à vendredi et au vide que tu vas laisser. 

Pourtant la semaine ne fait que commencer, alors pourquoi déjà ce spleen ?! 


Un effet secondaire de ce week-end certainement, où tu n’as pas été avare sur les câlins, où quelques confidences se sont glissées à l'oreille. 

Ton espièglerie qui m’aura contrainte à une nuit orpheline de mes rituels précieux pour ne découvrir ta farce qu’au petit matin.

Les rires, la joie et la bonne humeur ont marqué nos retrouvailles. 
On s’est quittés épuisés pour revenir apaisés.
Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas.
Il me reste 4 dodos à préserver pour savourer notre harmonie et profiter de NOUS, je n’ai donc pas de temps pour la mélancolie, mais paradoxalement, je suis heureuse d’avoir retrouvé le blues de toi, car il est synonyme de sérénité préservée et de bonheur à partager. 

© Une semaine sur deux

[ Ma vie médiatique, 3 ans déjà ! ]

Ce besoin d’écrire, de poser mes mots, mes ressentis sur le papier pour laisser s’écouler mes émotions qui débordent parfois, souvent, et puis la naissance de ma page Facebook en avril 2016, et du blog par la suite, pour trouver un peu de réconfort, pour partager mon expérience et chercher cette reconnaissance dont j’ai tant manqué.

Il me fallait trouver un sens à ce « une semaine sur deux », à cette vie dont je ne voulais pas !

Et puis je vous ai trouvé … 

Alors, ici, je livre un peu de mon intimité. 

Comme tous ceux qui utilisent les réseaux sociaux, on prend le risque de s’exposer  (pour vivre heureux, vivons cachés, c’est bien connu) et se dévoiler c’est souvent dangereux mais en même temps révélateur.

L’algorithme de Facebook n’aime pas l’anonymat, un nombre restreint mais certain de mon entourage proche et immédiat, connait donc l’existence de ma vie médiatique.

Et puis de toute façon, pas besoin d’arithmétique, j’ai la langue bien pendue, assurément un peu trop, mon bavardage n'a d'égal que ma naïveté (sincérité ?), persuadée que mes amis ou connaissances, à défaut de me comprendre, ne me jugeront pas et heureusement pour la plupart, (même s'il y aura toujours des exceptions) c’est le cas !

Soyez-en ici remerciés, pour votre compréhension mais surtout pour votre RESPECT 💜

Cependant, une personne de mon cercle amical m’a récemment avoué qu’elle ne venait pas me lire volontairement, parce qu’elle m’enviait ce côté « artistique », (chaotique oui !) que je pourrais avoir avec les mots.
Elle, qui cherche à atteindre son « moi créatif » (déjà imprégné en elle mais elle ne le perçoit pas toujours).
On pourrait appeler cela de la jalousie, mais si elle convoite mon « talent », je lui concède un peu de mes textes contre ses pas de danse biodynamique.

Chacun ses complexes, ses limites, ses exploits, ses défaites, ses victoires.
On est tous égaux devant l’inégalité de la vie !

Comme je la connais intimement, je ne lui en veux absolument pas, je la comprends et sa distance me renvoie un compliment 💗

Malheureusement, si elle a eu cette honnêteté, je sais que d'autres n'ont pas cette franchise.
Il y a des silences qui  veulent dire beaucoup, des absences que l’on comprend, d’autres moins, des attitudes parfois blessantes. 
J’ai moi-même cette part d’ombre,  je ne suis pas parfaite, ni en amour, ni en amitié.
Ma nature solitaire et sauvage me vaut sans doute, quelques blâmes.
Et aussi parce que je ne suis pas comme les autres voudraient que je sois. 
Parce que eux, feraient différemment mais eux, ce n’est pas moi. 
N’attendez pas de moi ce que je ne suis pas.
Pour ceux qui voudraient approfondir pourquoi ils sont toujours déçus par leur entourage, je les encourage à lire les publications sur l'effet miroir effet-miroir.
Croyez-moi, j'ai creusé le sujet et je cherche encore des réponses à mes  insatisfactions mais je sais que je suis la première responsable de mes frustrations.
Et puis si vous saviez, pendant longtemps, comment j’ai mené ma vie en en fonction des autres.
Pour être appréciée et me sentir exister, j’ai dit oui quand je voulais dire non, j’ai dit non quand je pensais oui.
J’ai aussi surement perdu ou blessé des amitiés, trop occupée à tenter de survivre.  
J’appelle rarement au secours, je me noie et je ressuscite toute seule.
Mea culpa. Et puis non, je ne m’excuserai pas d’être qui je suis !

Alors même si j’ai encore des efforts à fournir pour savoir dire NON (et sans justification surtout !), je m’autorise plus souvent, à reporter voire refuser certains projets pour en privilégier d’autres, de me rapprocher de certaines affinités, de m'éloigner de ce qui ne me correspond plus, de ne plus culpabiliser pour le mal-être des autres et à ne plus tenter de comprendre à tout prix ce que je ne comprends pas, je vais là où ma compagnie est souhaitée et désirée. 
Je vais là où je me fais du bien ♥
👉 stop, avant de hurler « petite égoïste », petit rappel quand même de la définition du mot à toutes fins utiles : « ÊTRE ÉGOÏSTE, c’est vouloir qu'autrui écoute nos besoins avant d’écouter les siens » (cf. article Lise Bourbeau, Ecoute ton corps - Ecoutetoncorps.com -être-égoïste)
Heureusement, ceux qui ont une réelle et véritable affection pour moi sont et seront toujours là même s’ils ne sont pas toujours en accord avec mes choix et mes idées, c'est ce qui fait inévitablement la richesse de la relation. 

Alors oui, j’apprivoise tout doucement, à ne plus être « aimée » (de tout le monde) tout simplement.

Je n'empêcherai jamais les critiques, alors autant être admirative de l’évolution de ma petite création, je suis heureuse de partager avec vous ce bout de moi, j’apprends à travers NOS expériences, je mesure la chance que j’ai, dans mon malheur de la « garde alternée »,  quand vous me confiez vos difficultés et je suis touchée en plein cœur par vos messages, toujours bienveillants et encourageants.

Je suis émerveillée par notre petite communauté  de parents orphelins « une semaine sur deux », et merci à tous les autres, présents par solidarité ou sympathie (voire admiration 😂) !

Il est évident, qu'un jour prochain, ce blog évoluera de manière moins personnelle, parce qu’il m’est essentiel de préserver mon fils de ces médias, aussi fabuleux que terrifiants.
Je mûris un projet qui me tient à cœur, parce qu’écrire « c’est mon truc à moi », et qui, je l’espère, arrivera à se concrétiser, mais en attendant :


Qui m’aime me suive !


❤❤❤❤


Au moment où je termine ces quelques lignes, je vois apparaître une publication qui prend tout son sens :

« Krishnamurti a dit : « Veux-tu connaître mon secret ? Je me fiche de ce qui se passe. »
Quand je me fiche de ce qui se passe, cela implique que je suis aligné intérieurement avec ce qui se passe. Être en alignement signifie être en relation de non-résistance intérieure avec ce qui se passe. Cela implique de ne pas étiqueter mentalement ce qui arrive comme étant bon ou mauvais, mais simplement de laisser faire. »  

Eckhart Tolle

[ Tu m’échappes ]

Cette semaine s’achève et je suis partagée entre mes sentiments et mes émotions.


Je n’ai pas envie de te voir partir et en même temps j’ai besoin et envie de me retrouver seule pour lâcher prise.
Ton caractère s’affirme et si ta ressemblance physique avec ton père ne fait aucun doute, j’ai bien peur que ce soit de mon tempérament dont tu auras hérité.

Depuis quelques temps tu m’amènes à hausser le ton, à te menacer de punition, et c’est un rôle dont tu ne m’as pas habitué jusqu’à présent. 
Je perds pied, je ne sais pas faire. 
Ta repartie est déroutante et déstabilisante. 
Devant mes hésitations, tu me mets face à mes contradictions.
Tes bouderies, avec juste ce qu’il faut de larmes pour me faire vaciller, sont désormais un classique de notre alternance.
Je vois bien que tu surjoues. 
L’humour est mon bouclier mais il ne peut pas être une réponse à toutes tes dramaturgies !

Il me faut apprivoiser cette culpabilité qui m’envahit dès que je pose les limites. 
Je serai toujours conciliante sur certains écarts parce que je n’ai plus de temps à perdre avec les futilités, le temps m’est précieux, « une semaine sur deux », allons à l’essentiel, mais je me dois de résister à quelques règles élémentaires.

Notre garde alternée nous aura permis de jouer les prolongations du complexe d'Œdipe, qui s’éclipse aujourd’hui, sur la pointe des pieds.

Mon bébé s’en est allé pour laisser la place au petit garçon plein d’assurance avide de tester les frontières du possible. 
A presque 8 ans, il est sain et rassurant de te voir t’émanciper.
C’est donc à moi désormais de trouver mon point d’ancrage, de revoir mon positionnement, et de ne plus flancher devant tes minauderies.

Une fois convaincue que je ne nous prive pas d’amour mais que je t’aide à grandir, alors je n’aurais plus à rougir de mes décisions et de mes sentences.

Ben tu sais quoi petit chou !? Tu me manques déjà ! ♥

© Une semaine sur deux